Communiqué de presse en français 🇫🇷 ci-dessous + Press release in English 🇬🇧 below
FR 🇫🇷 La campagne de vaccination COVID-19 est responsable d’une mortalité excédentaire dans l’hémisphère sud
Un article scientifique écrit par Prof Denis Rancourt, Dr Marine Baudin, Dr Joseph Hickey et Dr Jérémie Mercier publié dans un rapport de Correlation Research in the Public Interest (https://correlation-canada.org/covid-19-vaccine-associated-mortality-in-the-southern-hemisphere/) démontre après analyse de la mortalité toutes causes confondues de 17 pays équatoriaux et de l’hémisphère sud (à partir des chiffres du World Mortality Dataset) que :
· Dans tous les pays étudiés (Afrique du Sud, Argentine, Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour, Suriname, Thaïlande, Uruguay), il y a une transition vers un plus haut régime de mortalité au moment où les campagnes de vaccination COVID-19 sont déployées.
· Aucune mortalité excédentaire n’est détectable entre la déclaration de pandémie faite par l’OMS le 11 mars 2020 et le début des campagnes de vaccination COVID-19 dans 9 des 17 pays étudiés.
· Des pics anormaux de mortalité sont observés en janvier-février 2022, lors de la saison estivale des pays de l’hémisphère sud, de manière synchrone ou suivant le déploiement des doses de rappel, dans 15 des 17 pays étudiés.
· La mortalité excédentaire pendant la période vaccinale (de janvier 2021 à la date à laquelle les données s’arrêtent par pays) est de 1 745 000 décès pour les 17 pays étudiés, ce qui correspond à environ 1 décès sur 800 injections.
· Le taux de létalité par injection du vaccin augmente de façon exponentielle avec l’âge, et atteint près de 5 % chez les plus de 90 ans soumis à une dose 4.
Les auteurs démontrent que les vaccins COVID-19 sont toxiques, et que cette toxicité est environ mille fois plus importante que celle rapportée dans les essais cliniques ou estimée par la pharmacovigilance. Ils appellent les gouvernements à mettre fin aux politiques de santé publique priorisant la vaccination COVID-19 des personnes âgées.
Télécharger le communiqué de presse ici.
EN 🇬🇧 The COVID-19 vaccination campaign caused excess mortality in the Southern Hemisphere
A scientific article by Prof Denis Rancourt, Dr Marine Baudin, Dr Joseph Hickey and Dr Jérémie Mercier and published by Correlation Research in the Public Interest (https://correlation-canada.org/covid-19-vaccine-associated-mortality-in-the-southern-hemisphere/) shows, based on analysis of all-cause mortality in 17 equatorial and Southern-Hemisphere countries (using data from World Mortality Dataset), that:
· In all the countries studied (Argentina, Australia, Bolivia, Brazil, Chile, Colombia, Ecuador, Malaysia, New Zealand, Paraguay, Peru, Philippines, Singapore, South Africa, Suriname, Thailand, Uruguay), transitions to higher regimes of all-cause mortality are observed when the COVID-19 vaccines are deployed.
· No excess mortality is detected between the WHO’s pandemic declaration of 11 March 2020 and the beginning of the COVID-19 vaccination campaigns in 9 of the 17 countries studied.
· Abnormal all-cause mortality peaks are observed in January-February 2022, during the summer season of the Southern-Hemisphere countries, synchronously with or following the rollouts of the boosters, in 15 of the 17 countries studied.
· The excess all-cause mortality during the vaccination period (from January 2021 to when the data end for each country) amounts to 1,745,000 deaths for the 17 countries studied, which corresponds to approximately 1 death per 800 injections.
· The vaccine-dose fatality rate increases exponentially with age, reaching almost 5% among those over 90 years old exposed to a 4th dose.
The authors demonstrate that the COVID-19 vaccines are toxic, and that this toxicity is about 1,000 times larger than that reported in clinical trials or estimated from pharmacovigilance databases. They call on governments to end the public health policies prioritizing COVID-19 vaccination of the elderly.
le 01 juin 2021, le Dr. Byram Bridle, professeur-associé d’immunologie virale à “l’Université de Guelph” d’Ontario au Canada, a publié une étude scientifique sur les risques très alarmants de la protéine de pointe, “Spike” qui est produite par le corps après les injections de vaccins à ARN Messager. Ce docteur est loin d’être un charlatan, au regard de ses brillants états de service et de son CV. D’après ses recherches, cette protéine “Spike” serait toxique pour le corps humain et donc dangereuse pour l’homme. Elle endommage les cellules et il s’avère que cette protéine ne reste pas au point d’injection, mais a tendance à se diffuser via le système sanguin aux principaux organes, elle s’accumule par exemple dans le foie, les ovaires. Elle peut alors se lier aux récepteurs de nos plaquettes pouvant provoquer coagulation, caillots et problèmes neurologiques ! Ce qui explique tous les effets secondaires graves que l’on a déjà pu observer jusqu’à présent. Il déclare que «Jusqu’à récemment, nous n’avions jamais pensé que les protéines Spike pouvaient être toxiques ! Les vaccins ARNm qui ont été testés pour la première fois sur des animaux et dont les études n’ont jamais été rendues publiques, montrent que les nanoparticules d’ARNm ne restent pas localement au site de ponction dans le tissu musculaire, comme supposé et revendiqué par les fabricants, mais vont dans les organes à des concentrations parfois dramatiques, où ils sont transférés de cellules en cellules et absorbés en continu.» Son verdict, au nom du principe de précaution est sans appel : «Il faut arrêter immédiatement toutes vaccinations Covid-19 utilisant la protéine Spike»
De mon côté, j’ai l’impression que les histoires de Spike sont une fausse piste (piste qui valide la théorie non prouvée que les vaccins à ARNm fonctionnent effectivement comme Pfizer et Moderna l’affirment). En revanche, la toxicité des nanoparticules lipidiques dans ces vaccins pourrait expliquer les dégâts observés chez les injectés qui ont des effets indésirables.
https://factuel.afp.com/doc.afp.com.33XT3V6
Un « fact-checking » typique de l’Agence France Presque ;)
Mais encore…?
Extrait du « fact-checking » de l’AFP : « Les pics de mortalité toutes causes confondues sont probablement dus à la recrudescence du virus pendant certaines périodes et n’ont rien à voir avec les campagnes de rappel », a poursuivi l’expert.
Nous avons montré dans nos articles précédents https://www.researchgate.net/profile/Jeremie-Mercier-2 que la mortalité depuis 2020 n’a aucun rapport avec une prétendue pandémie. Ce sont les mesures dites « sanitaires » qui ont tué les gens en 2020 (avant le vaccin), en aucun cas un « nouveau virus » particulièrement pathogène.
Quant aux vaccins, ils ont également largement tué (comme nous l’avons montré et calculé), alors qu’on aurait dû s’attendre à une baisse de mortalité suite au déploiement des vaccins (quand on croit aux vaccins).
(En attendant de causer des factchekers de l’Afp …)
Pour le premier point, l’affirmation de l’expert est assenée exactement comme on en a l’habitude. Nous avons sous les yeux un sophisme (iste) exemplaire. De « probablement », il aboutit allégrement et doctement à « ça n’a rien à voir »…Et pourtant… Ces vaccins auraient dû freiner la recrudescence du virus. Plus simplement présenté, il s’est bien trouvé quatre importants pics, plus deux de moindre importance, relatifs à la mortalité pendant la période vaccinale intensive qui a duré deux ans. Ceci signait la persistance de la circulation du virus que le vaccin était censé terrasser.
Pour le second point : cette assertion peut paraître choquante. Effectivement, les gens malades n’ont pas été soignés. Ils poireautaient avant d’aller à l’hôpital pour finir par recevoir des soins délétères de ventilation, de remdésivir et de rivotril. Nous avons bien assisté, effarés, à des mesures sanitaires meurtrières. Elles ont certainement fait le plein de l’essentiel des décès qui auraient pu être évités en soignant les gens avec des médicaments éprouvés sans effets secondaires, pas chers, facile à mettre en œuvre… en les utilisant dès les premiers symptômes.
Pour le troisième point, il peut paraître également choquant (je n’ai pas encore lu votre dossier). Les sites de l’Ansm pour la France doit mentionner actuellement 1600 morts ; celui de l’Ema pour l’Europe : 26 000 à la dernière date de juin 2022 accessible sur leur site. (J’avais constaté que ce n’était plus visible pendant longtemps ; ne reste que les copies d’écran en disponibilité). Quand on connaît leur répugnance à admettre les effets indésirables et que l’on sait que la pharmacovigilance est particulièrement déficiente au point d’avoir une sous déclaration notoirement évidente pour beaucoup de raisons, nous devons logiquement arriver à des chiffres faramineux. Un « bon vaccin » ne devrait pas occasionner de morts. C’est le moins que l’on puisse en attendre. Dans ce contexte, oui, il est tout à fait, raisonnablement non excessif, d’affirmer que ce vaccin à ARM expérimental tue.
« Alors qu’on aurait dû s’attendre à une baisse de mortalité suite au déploiement des vaccins. ». Non seulement elle n’a pas eu lieu mais au contraire on a assisté à six pics retentissants de mortalité pendant les deux années d’intenses vaccination de masse. En deuxième année de vaccination l’incidence de morbidité et mortalité n’a pas vu de répit : on a assisté à deux pics retentissants en début et fin d’année en plus de deux intermédiaires moins importants. Sans plus aller plus loin : du point de vue des statistiques officielles, l’échec du vaccin est patent ; encore que l’on puisse émettre sagement l’hypothèse qu’il ait favorisé la circulation du virus l’autorisant à circuler non-stop durant toute l’année 2022.
https://ec.europa.eu/eurostat/statistics-explained/index.php?title=File:Fig01_Weekly_Deaths_2023_Aug.png
Merci pour votre message. Il n’y a pas besoin d’invoquer la présence ou la circulation d’un quelconque « virus » pour expliquer la mortalité ces dernières années. Les effets délétères des « mesures sanitaires » suffisent !
Autour de moi, j’observe que mes patients développent des pathologies graves après leurs injections. Les non vax, aucun
Intéressant. Quel type de pathologies graves ?
Bonjour, ça c’est bon signe pour nous, les gens qui remettent en question ce système, seulement voilà, de mon côté, je connais pas mal de gens injectés et aucun n’a de problème; Je passe pour une folle partout évidemment.
Ok. Tant mieux pour les injectés autour de vous. Beaucoup d’injectés ont des problèmes, mais ils ne sont pas capables de faire leur lien, car ça n’a pas été dit à la télé…
@Oreve,
Dans mon modeste environnement, hors familial, alors que je n’investigue pas là-dessus, j’ai eu connaissance d’un mort, d’une rétinite à un œil puis au deuxième avec baisse dramatique de l’acuité, deux zonas dont un à la figure…
Je précise que ces personnes n’ont pas fait la relation de cause à effet ; c’est moi qui ai posé la question quant à leur vaccination qui avait bien eu lieu. J’ai pensé que la relation pouvait être fortement suspectée. Je n’ai même pas formulé ma soupçon à ces personnes parcequ’elles ne sont pas mûres pour entendre ce genre de choses (pour la morte, cela concerne évidemment sa famille).
Les effets à long terme sont attendus atteignant toutes les sphères de l’organisme : une mauvaise pochette surprise. Rétrospectiveùent, la surmortalité important, toutes causes confondues est indiscutable et dûment répertoriée sur les sites officiels de statistique.
La surmortalité pour 2020 pouvait s’admettre : le virus nouveau était arrivé, « on ne savait pas bien le soigner », on a rivotrilé en proportion et « par compassion…Nous ne disposions pas de vaccin…
La surmortalité pour les années de vaccination 2021 et 2022, avec vaccin, et avec la connaissance des façons de soins efficaces, bon marché et sans effets secondaires est par contre franchement inadmissible. Comme l’« on » a continué à ne pas soigner, alors même que la maladie avait fait son plein, et que l’incidence de la maladie aurait dû drastiquement chuter et plus particulièrement le taux de mortalité, l’on a continué, sans état d’âme à rivotriler.
Des chercheurs ont découvert fortuitement qu’il y avait de l’ADN en sus de l’ARN dans ces vaccins (Pfizer et Moderna). Que ces vaccins aient des conséquences futures incalculables sur la santé des vaccinés –ceux qui n’ont pas reçu de placebo, est tout à fait de l’ordre du plausible.
Merci pour ce témoignage ! Tous les vaccins contiennent des sal*peries. Ceux-là ne font pas exception. La toxicité des vaccins Covid tue une certaine proportion de personnes, qu’on a calculé dans nos derniers articles. Quant aux effets indésirables, nous n’avons pas fait nos investigations sur ce point, mais c’est une réalité dramatique pour de nombreuses personnes (lien fait avec le vaccin ou pas !).